
La dernière campagne de Casablanca apporte du soleil à notre blues hivernal
Si l’on ne connaît pas encore la destination de nos prochaines vacances, on sait déjà ce que l’on portera
20 Janvier 2025
Tandis que les températures du mois de janvier viennent nous mordre les joues et amènent dans nos coeurs et nos maisons une vague de mélancolie quant à la vie heureuse et colorée que l’on conduisait au soleil il y a encore quelques mois, Casablanca arrive pour nous tirer du gris et de la morosité. L’inspiration de la dernière campagne en date de la marque est on ne peut plus claire : entre camaïeu de bleu, palmiers, paréos et chemises hawaïennes, les quelques clichés capturés dans un décors aux airs californiens nous ramène en été en un clin d’oeil et avant même que l’on ait le temps de faire nos valises. Allant du menswear au womenswear en passant par les vêtements pour enfants et les accessoires, la campagne présente une collection complète qui se suffit à elle-même.
Entre visière et bob pour éviter les coups de soleil, raquette de tennis pour se divertir à la plage, foulard en soie et même planche de surf, même les accessoires ont été créées pour répondre au fil conducteur de la campagne et surtout aux exigences des vacanciers à la recherche des full looks les plus stylés pour leur escapade sur le sable fin. En ce qui concerne les vêtements, on passe en un clin d’oeil du short en jersey au tricot estival pour les hommes, et à l’ensemble en soie turquoise à une robe de sirène aux couleurs du coucher de soleil pour les femmes. Les maillots de bain vont du bikini décliné en plusieurs motifs au modèle une pièce à la Pamela Anderson, tandis que même les enfants ont droit à une infinité d’options inspirées des modèles des adultes, en version mini mais tout aussi cool pour des vacances en famille. Si le froid continue de faire rage à Paris, cette nouvelle campagne nous donne encore plus envie de revoir au plus vite les rayons du soleil. Et si l’on ne connaît pas encore la destination de nos prochaines vacances, en tout cas, on sait déjà ce que l’on portera.